Ferrari F310B

bonjour à tous
je vais bientôt attaquer cette fabuleuse Ferrari F310

un petit peu d’histoire
pris sur Auto hebdo

Ne pas repartir d’une feuille blanche. En 1996, Ferrari avait fait balles neuves sur tous les plans en changeant le châssis, le moteur (avec un passage tardif mais salutaire au V10) et son pilote leader. Trois succès et une deuxième place au classement Constructeurs sont venus récompenser ce nouveau départ. Désireuse de bâtir sur ces fondations, la Scuderia mise alors sur la stabilité. La F310 conçue par l’ingénieur britannique John Barnard n’était pas une mauvaise voiture, mais elle n’était pas de taille face aux Williams. Il a fallu tout le talent de Michael Schumacher, conjugué à des circonstances favorables, pour jouer les premiers rôles.

Pour 1997, le président Luca di Montezemolo n’a qu’un mot à la bouche : fiabilité. Hors de question de se présenter à Melbourne la fleur au fusil et sans roulage significatif en essais hivernaux, comme ce fut le cas 12 mois plus tôt. Le programme de la F310B est donc lancé bien en amont. La lettre B accolée à l’appellation utilisée en 96 renforce l’idée qu’il s’agit là d’une évolution, même si visuellement elle tranche avec sa devancière. Si la dernière création du Cheval Cabré est une fois de plus issue du pôle FD&D – l’antenne anglaise de Ferrari chapeautée par Barnard à Guildford – les grandes manœuvres se sont accélérées durant l’hiver pour rapatrier les installations techniques à Maranello.

Fin 1996, Ross Brawn est arrivé en provenance de Benetton avec pour mission de superviser la construction des nouvelles infrastructures et l’organisation du futur département technique. Il sera rejoint quelques mois plus tard par Rory Byrne, qui l’épaulait déjà comme chef-désigner dans son précédent rôle.

Quid de l’avenir en rouge de Barnard dans tout cela ? « Personnellement, je voudrais poursuivre l’aventure afin de cueillir les fruits de mon travail », assurait l’intéressé lors du lancement de la F310B. Pourtant, on dit l’homme contraint d’avoir accepté de sérieux compromis en matière de conception et en discussion avancée avec Prost Grand Prix. « Il y a 50 % de chance qu’il reste avec nous », confiait Luca di Montezemolo durant la même présentation d’avant saison.

Objectifs mesurés et épilogue amer

L’élégant président se montre par ailleurs moins lyrique et grandiloquent qu’à l’accoutumée au moment d’évoquer les objectifs de la campagne 1997 : quatre victoires, soit une de plus qu’au terme de la précédente. Di Montezemolo a appris à ne plus trop promettre. Contrairement à Barnard, Brawn et Byrne ont accepté de s’installer à Maranello. Interrogé sur sa collaboration à distance avec l’Angleterre, le nouveau directeur technique assure qu’il n’y aura aucune guerre d’ego. « John et moi nous connaissons bien, assure Brawn. En F1, il faut disposer de fortes personnalités pour réussir, et celles-ci doivent collaborer. »



Les premiers signes du divorce Barnard-Ferrari ne tardent pourtant pas à poindre. « Il s’est passé un truc étrange lorsque je suis arrivé, nous a raconté Byrne récemment (voir interview Grand Témoin des années 2000. Ndlr). L’écurie était en essais à Estoril (Portugal. Ndlr) durant ma première semaine de boulot nous avons rencontré un problème avec la suspension avant. J’ai essayé de joindre John Barnard au téléphone, car il n’y avait aucun outil de calculs en Italie. Mais je n’ai eu accès qu’à sa secrétaire. Je n’ai jamais réussi à lui parler. Cette année-là, nous avons roulé avec une voiture conçue par John Barnard et développée par nos soins. En parallèle, et au fil de la saison, nous avons été en mesure d’étoffer nos capacités de conception et de recherche à Maranello pour concevoir la monoplace de 1998. Ross fut très actif dans ce projet. »


Cette débauche d’efforts rendra l’issue du championnat encore plus douloureuse pour les hommes de Maranello. Car si la F310B n’est, intrinsèquement, pas aussi compétitive que la Williams FW19, notamment sur le plan aérodynamique, elle se montre suffisamment performante pour permettre à Schumacher de faire plus que rivaliser avec Jacques Villeneuve, et ce, sans devoir forcément compter sur un scénario rocambolesque. Le Baron Rouge aborde même la finale de Jerez dans la peau de leader du championnat Pilotes avec huit podiums dont cinq victoires au compteur. On connaît la suite.

Le chagrin légitime ne doit pas faire oublier les grandes réussites de la saison 1997 dans le clan italien. Au soir de cette année charnière et déterminante pour la suite, Maranello s’apprête à disposer d’installations dignes de ce nom pour développer une monoplace performante de A à Z en un seul et même endroit. Sous l’impulsion de Jean Todt, la Dream Team à l’origine de la période dorée du début du siècle suivant est enfin au complet. Trait d’union entre deux départements techniques, la F310B s’en tire au final avec les honneurs et confirme le renouveau de Ferrari en annonçant les succès à venir.

la boîte les grappes la déco et la notice





























la description de TAMIYA

Je te souhaite un bon montage, je m'installe.

Gérard

Bon montage Jean-Luc
Rémi

je m'installe ! ^^

Bon montage
Tu vas prendre du plaisir à la monter. Un kit que j'ai monté il y a bien longtemps, si je trouvais ce kit à
pas trop cher je la referai peut être

et bienvenue Gérard gaby yann

@yann
j’espère que tu pourras la trouver mais c’est pas évident

Bon montage

bon montage

Toujours dans le rouge
Belle voiture, bon montage je m'installe

 Cedrick    Vincent   Alain

Bon montage Jean-Luc

Sympa celle la, je m’installe

Bon Montage

Jérôme Guillaume Philippe

Bonjour,
Belle auto (comme beaucoup de rouges) je te souhaite un bon et beau montage.
@Pluc'h.Pat

Pat2/1as a écrit:

Bonjour,
Belle auto (comme beaucoup de rouges) je te souhaite un bon et beau montage.
@Pluc'h.Pat

aller c’est parti pour mon premier montage 2024

j’avais avancé un petit peu
préparation apprêt peinture

un petit éclaté de la 310B

belle préparation

çà avance bien

Tu nous la fait "façon puzzle"
Beau début

C'est déjà bien avancé

gaby Vincent Cedrick yann

bon ben l’année 2024 commence mal  

j’ai été obligé de repeindre le museau
en peignant l’intérieur en noir j’ai fait quelques petits débordements  

mais pas de problèmes j’ai la solution
un coton tige imbibé d’alcool à 70° et hop c’est parti

sauf que après quelques minutes un voile blanc est apparu aux endroits ou j’ai passé l’alcool  

la pour le coup j’ai pas compris
je l’ai toujours fait et jamais de problème ?

est-ce une réaction avec le vernis MR HOBBY
ou est-ce l’alcool c’est une bouteille neuve ?

j’ai essayé d’effacer ce voile blanc avec le polish blanc Tamiya sa partait mais le voile réapparaissait

du coup ponçage et peinture
maintenant il me reste encore quelques pièces à peindre l’intérieur en noir
j’hésite de peur que cela recommence

qu’en pensez-vous
en vous remerciant

je continue par le moteur et le train arrière











voilà pour aujourd’hui

va falloir que je m’améliore pour les photos le rouge parait foncé mais en réalité il est beaucoup plus clair
désolé