Bonjour voila la presentation de mon montage la Mac laren Mp 4/25 de chez Revell
les photos de la vraie
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Une partie d histoire
1963-1966 : naissance de l'écurie[modifier]
Pilote officiel de l'écurie Cooper à partir de 1958 en Formule 2, puis 1959 en Formule 1, le Néo-Zélandais Bruce McLaren devient cette année-là à Sebring le plus jeune vainqueur de Grand Prix, à l'âge de 22 ans. Lorsque son coéquipier et mentor Jack Brabham quitte l'écurie Cooper à la fin de l'année 1960 pour bâtir sa propre structure, Bruce McLaren devient le leader de l'équipe, mais ne peut empêcher son lent déclin. Inspiré par l'exemple de Jack Brabham, il décide alors lui aussi de créer sa propre écurie de course.
Le Bruce McLaren Motor Racing Ltd voit le jour lors de l'hiver 1963-1964. Bruce McLaren engage sous sa propre bannière des Cooper dans le championnat de Formule Tasmane, une série hivernale très réputée, et disputée en Océanie lors de l'inter-saison de Formule 1. Pour l'épauler dans son entreprise, il est rapidement épaulé par Teddy Mayer un juriste américain passionné de sport automobile et qui faisait à l'origine office de manager pour son jeune frère Tim Mayer, engagé par Bruce McLaren en tant que deuxième pilote. Malgré la mort de Tim Mayer en février 1964, Bruce McLaren et Teddy Mayer décident de poursuivre l'aventure. En 1964, parallèlement à ses engagements en Formule 1, Bruce McLaren élargit les activités de son équipe aux épreuves d'endurance, et notamment aux épreuves américaines, alors richement dotées. Pour cela, il prend à nouveau comme base des châssis Cooper.
Ce n'est qu'en 1966 que l'équipe McLaren devient non plus préparateur, mais un constructeur à part entière. Début 1966, McLaren crée son premier prototype de type Can-Am, ainsi que sa première Formule 1, la M2B.
1966-1983 : premiers succès, premiers titres[modifier]
Bruce McLaren en 1969 au Nürburgring.
Si l'équipe de Can-Am ne tarde pas à dominer outrageusement ses rivales, il n'en va pas de même pour l'équipe de F1, essentiellement faute d'une bonne motorisation. Pour sa première saison, McLaren jongle sans grand succès avec un V8 Ford de 4 200 cm³ issu des épreuves américaines et à la cylindrée rabaissée aux 3 000 cm³ réglementaires (ce moteur n'a rien à voir avec le fameux V8 Ford Cosworth qui ne verra le jour que l'année suivante) ainsi qu'avec un V8 Serenissima (issu du fiasco A-T-S) du Comte Volpi. En 1967, Bruce McLaren passe un accord de fourniture moteur avec BRM, mais les retards de conception du V12 BRM obligent McLaren à se tourner durant la majeure partie de l'année vers le V8 BRM de 2 000 cm³ à la puissance insuffisante, ce qui gâche à nouveau la saison.
C'est à partir de 1968 que les résultats décollent enfin. L'équipe McLaren est renforcée par le champion du monde en titre Denny Hulme (déjà équipier de McLaren en Can-Am), et surtout, bénéficie comme Lotus et Matra du V8 Ford-Cosworth, gage de performance et de fiabilité. Le Bruce McLaren pilote offre en Belgique au Bruce McLaren directeur d'équipe son premier succès en Formule 1. Quelques semaines plus tard, c'est Denny Hulme qui décroche deux victoires et parvient à s'inviter à la lutte pour le titre mondial.
Perturbée en 1969 par le développement de deux programmes simultanés en F1 (comme d'autres équipes, McLaren se fourvoie en croyant voir une solution d'avenir dans une monoplace à quatre roues motrices), l'écurie anglo-néo-zélandaise rate sa saison. Denny Hulme parvient tout de même à décrocher une victoire en fin d'année au Mexique.
Bien engagée, la saison 1970 tourne au drame lorsque début mai, Denny Hulme est victime lors des essais des 500 Miles d'Indianapolis (nouvel objectif de McLaren) d'un grave accident qui lui occasionne de sévères brûlures aux mains. Plus grave, le 2 juin 1970, lors d'une séance d'essais privés sur le circuit de Goodwood en Angleterre, Bruce McLaren perd le contrôle de son prototype CanAm, déséquilibré par la perte de son capot moteur. La M8D vient s'écraser sur un poste de commissaires en béton, tuant instantanément son pilote.
La Yardley McLaren M19C de 1972
En 1974, McLaren connaît son premier grand succès : un titre constructeur et un titre pilote (avec Emerson Fittipaldi) en battant Ferrari. En 1976, James Hunt remporte également le championnat pilote avec une McLaren malgré la victoire de Ferrari aux constructeurs. Il faut noter néanmoins que le titre de Hunt fut acquis après le retrait volontaire de Niki Lauda pendant le Grand Prix du Japon, dernière course de la saison. En effet, la pluie battante avait convaincu Lauda que sa vie valait mieux qu'un titre pilote (ce qu'on peut aisément comprendre suite au grave accident dont il fut victime au Nürburgring la même année).
La fin de l'année 1980 marque un grand tournant pour McLaren : Ron Dennis devient le nouveau patron de l'équipe, et recrute l'ingénieur John Barnard qui conçoit la première F1 en matériaux composites, qui offre une plus grande légèreté et une meilleure rigidité. McLaren remporte sa première victoire depuis 4 ans à Silverstone aux mains de John Watson.
Pour la saison 1982, Ron Dennis parvient à convaincre Niki Lauda, retraité depuis 1979, (et moyennant une somme substantielle), à reprendre la compétition. Ce dernier fera un retour plus que brillant en remportant un grand prix cette année-là. Après une année 1983 plus en demi-teinte, Ron Dennis parvient à engager Alain Prost, tout juste licencié par Renault après leur catastrophique fin de saison.
1984-1993 : l'ère Prost-Senna[modifier]
Alain Prost sur sa McLaren durant le Grand Prix d'Allemagne 1985
Nanti de cette équipe de rêve, et du tout nouveau moteur TAG Porsche, McLaren va alors effectuer une saison sans précédent, remportant douze Grands Prix (sept pour Prost et cinq pour Lauda) sur les seize du championnat 1984 et s'adjugeant le titre constructeurs à trois courses de la fin de la fin de la saison. Ce sera cependant Lauda qui coiffera la couronne mondiale pour un demi-point (score le plus serré jusqu'à présent), grâce à sa plus grande régularité (Prost avait encore la fâcheuse habitude de casser ou gagner).
L'année 1985 est l'année du triomphe pour Prost et de la confirmation pour McLaren. Après une saison en demi-teinte (marquée tout de même par une magnifique victoire en fin de saison après une jolie bagarre contre Prost au Grand Prix des Pays-Bas), Niki Lauda tire définitivement un trait sur la compétition.
1986 voit le deuxième titre de Prost malgré la domination des Williams, équipées d'un moteur turbo Honda arrivé à maturité. Prost profite cette année-là de la rivalité des deux pilotes adverses, Mansell et Piquet, pour les coiffer au poteau lors de la dernière course, grâce à sa maîtrise tactique et son pilotage très fin, il était en effet considéré comme le pilote sachant le mieux économiser une voiture.
L'année 1987 est, sans surprise, dominée par les Williams, mais l'ambiance de lutte intestine y régnant en permanence convainc les gens de Honda de répondre à l'appel de Ron Dennis pour 1988. C'est à cette même époque qu'Ayrton Senna rejoint l'équipe McLaren, formant avec Alain Prost la dream team dont tout manager de Formule 1 souhaite disposer.
Le résultat ne se fait pas attendre. McLaren écrase littéralement la concurrence, s'adjugeant quinze courses sur les seize que comptait le championnat, remportant le titre à cinq épreuves de la fin, réalisant dix doublés et réalisant quinze fois la pole position. La voiture, la MP4-4 s'avère la meilleure machine, bien aidée par le bloc Honda et Ayrton Senna voit son talent récompensé par le titre des pilotes.
1989 s'annonce sous les mêmes auspices, mais c'est l'année où les relations entre Alain Prost et Ayrton Senna se dégradent à cause d'un pacte de non-agression non respecté par le Brésilien à Imola pour le Grand Prix de St-Marin. La fureur de Prost, l'intervention de la presse enveniment les choses et aboutissent à une situation explosive trouvant son dénouement à Suzuka au Japon avec le fameux accrochage entre les deux pilotes McLaren. Prost devient champion du monde et quitte McLaren tandis que Senna est disqualifié de la course pour « aide extérieure ».
Au milieu de tout ceci, Ron Dennis peut néanmoins être content car il accroche un nouveau doublé pilote-constructeur au palmarès de son écurie.
En 1990, Prost part chez Ferrari, celui-ci est remplacé par l'Autrichien Gerhard Berger. Senna et Prost luttent pour le titre toute la saison, mais le Brésilien est sacré après un nouvel accrochage à Suzuka, volontairement provoqué comme il l'avouera quelque temps après. Le début de saison 1991 est parfait pour Senna : quatre victoires sur quatre courses et 29 points d'avance sur Prost, alors son plus proche rival. La suite sera plus difficile, avec l'émergence des Williams-Renault qui dominent la suite de la saison. Toutefois, plusieurs erreurs les empêchent de rattraper Senna qui remporte son troisième titre mondial tandis que McLaren l'emporte pour la quatrième année consécutives. En 1992, les Williams sont encore plus fortes, et Senna et McLaren ne peuvent lutter. Senna finit même derrière le jeune allemand Michael Schumacher, à la quatrième place. Cette cuisante défaite pousse Honda à quitter la F1, et Senna hésite à poursuivre l'aventure. Il est pourtant bien au départ de la saison 1993, avec un moteur Cosworth et un nouvel équipier : l'Américain Michael Andretti. Senna résiste magnifiquement à l'association Prost-Williams pourtant supérieure, remportant cinq victoires. Andretti déçoit énormément, et est remplacé en fin de saison par le jeune finlandais Mika Häkkinen, qui parviendra à signer son premier podium au Grand Prix du Japon.
1994-2001 : l'ère Häkkinen[modifier]
McLaren-Peugeot MP4/9 de 1994 au Musée Peugeot de Sochaux.
En 1994, McLaren perd Senna, parti chez Williams, et se lie au motoriste et constructeur automobile Peugeot. L'expérimenté Martin Brundle remplace Senna mais la saison sera décevante, puisque McLaren ne remporte aucune course. L'équipe anglais se sépare d'ailleurs de Peugeot pour s'associer avec Mercedes. Toutefois, la saison 1995 sera extrêmement difficile, l'écurie pointant un temps à la sixième place au championnat, avec l'échec total de l'association avec Nigel Mansell, et avec l'accident de Häkkinen en fin de saison. En 1996, Ron Dennis recrute le jeune espoir écossais David Coulthard. Malgré des débuts à nouveau difficiles, il y a de nets progrès en fin de saison, avec plusieurs podiums. Ces progrès sont confirmés en 1997, avec trois victoires à Melbourne (avec David Coulthard), Monza (avec David Coulthard) et Jerez (première victoire de Mika Häkkinen). De plus, McLaren a recruté le fameux ingénieur Adrian Newey. En 1998, McLaren et Häkkinen sont sacrés champions du monde, malgré la résistance de Michael Schumacher et Ferrari qui font durer le suspense jusqu'à Suzuka, malgré une MP4-13 plus performante. En 1999, plusieurs erreurs et problèmes de fiabilité coûtent de nombreux points et le titre constructeurs à McLaren, mais Häkkinen parvient à conserver son titre, de deux points face à Eddie Irvine.
En 2000, Häkkinen et Schumacher luttent de nouveau pour le titre, mais l'Allemand profite de la meilleure fiabilité de sa voiture pour être sacré. En 2001, les Ferrari sont encore plus fortes, les Williams sont de retour au sommet avec BMW et Michelin. Tandis que Coulthard est le seul à pouvoir lutter avec Schumacher en début de saison (avec deux victoires notamment), Häkkinen est victime d'une malchance terrible, abandonnant à sept reprises ! Malgré deux victoires à Silverstone et Indianapolis, le Finlandais ne termine que cinquième et décide de prendre sa retraite. Il est remplacé par son jeune compatriote Kimi Räikkönen.
2002-2006 : l'ère Räikkönen[modifier]
Kimi Räikkönen au Grand Prix des États-Unis 2006
En 2002, Ferrari écrase le championnat, et McLaren doit se contenter d'une victoire de Coulthard à Monaco et d'une troisième place finale au championnat du monde avec seulement 65 unités, soit quasiment quatre fois moins que Ferrari ! En 2003, McLaren utilise une évolution de la voiture de 2002, remplaçant la MP4-18 qui ne sera finalement jamais prête. L'équipe anglaise reste troisième mais parvient à s'imposer à deux reprises (Coulthard en Australie et Räikkönen en Malaisie) et réduit considérablement l'écart qui le sépare de Ferrari. Räikkönen lutte jusqu'au bout pour le titre mondial face à Schumacher, grâce de nombreuses places d'honneur, et à une victoire en Malaisie, la première de sa carrière. Il échoue à deux points de l'Allemand. En fin de saison, McLaren recrute le Colombien Juan Pablo Montoya pour 2005.
En 2004, McLaren utilise la MP4-19, dérivée directement de la MP4-18. Mais celle-ci n'est ni performante, ni fiable, et il faudra attendre une version B à mi-saison pour voir des progrès, et une victoire de Räikkönen à Spa. McLaren termine toutefois au cinquième rang, son pire classement depuis 21 ans.
En 2005, la McLaren MP4-20 est la voiture la plus performante, mais aussi la moins fiable, et elle empêche Räikkönen de lutter pour le titre malgré sept victoires. Celui-ci est toutefois vice-champion, tout comme McLaren. Fin 2005, McLaren recrute le nouveau champion du monde Fernando Alonso pour 2007.
En 2006, la MP4-21 est plus fiable que son ainée, mais moins performante. Il n'y a pas de victoire pour la première fois depuis 1996, et Montoya est renvoyé après une première moitié de saison décevante et un accrochage avec Räikkönen au départ à Indianapolis. Pedro de la Rosa, qui avait déjà roulé pour McLaren à l'occasion du Grand Prix de Bahreïn 2005, assure l'intérim jusqu'à la fin de la saison, terminant notamment deuxième en Hongrie.
2007-2009 : arrivée d'Hamilton[modifier]
Article connexe : Affaires d'espionnage en Formule 1 en 2007.
Hamilton au Grand Prix de France 2007
En 2007, McLaren accueille le double champion du monde Fernando Alonso et le jeune britannique Lewis Hamilton, champion en titre de GP2. La McLaren MP4-22 est très performante et les deux hommes vont se concurrencer toute la saison. Toutefois, la révélation de l'affaire d'espionnage de Ferrari à mi-saison va créer de nombreuses tensions et aboutir à l'exclusion de l'équipe britannique du championnat. Le duel entre Alonso et Hamilton va provoquer plusieurs erreurs (pénalité pour Alonso à Budapest, sortie de piste d'Alonso à Fuji, de Hamilton en Chine, problème électronique pour Hamilton au Brésil) dont va profiter Räikkönen, passé chez Ferrari, pour devenir champion du monde.
En 2008, Heikki Kovalainen remplace Alonso, et Hamilton devient le leader de l'équipe. Malgré une voiture moins performante au début de saison, Hamilton remporte les courses difficiles (Melbourne, Monaco, Silverstone) puis fait jeu égal avec Felipe Massa pour être sacré au dernier virage à Interlagos. Kovalainen, quant à lui, remporte une course, le Grand Prix de Hongrie, après l'abandon de Massa, réalise sa première pole position à Silverstone et monte sur le podium à trois reprises. McLaren termine à la seconde place du championnat.
En 2009, McLaren réalise un début de saison désastreux, avec une MP4-24 peu performante, elle n'inscrit ainsi que quatorze points en neuf courses et est provisoirement sixième. Elle relève peu à peu la tête avec deux victoires (à Budapest et Singapour), quatre pole positions (Europe, Italie, Singapour et Abou Dabi) et plusieurs podiums pour Hamilton en fin de saison, et une troisième place finale au championnat du monde, devant Ferrari.
2010 : l'arrivée de Button[modifier]
Lewis Hamilton teste la McLaren MP4-25 à Jerez
Le 16 novembre 2009, Mercedes-Benz annonce le rachat de 75,1 % de l'écurie Brawn GP qui devient l'écurie officielle du constructeur sous le nom de Mercedes GP. Le contrat moteur avec McLaren est toutefois prolongé jusqu'en 2015 mais l'équipe britannique doit racheter sous deux ans les 40 % du capital encore détenus par Mercedes et se passer de tout ou partie de l'aide financière du constructeur allemand.
Pour épauler Lewis Hamilton, Jenson Button, champion du monde en titre, signe un contrat de trois ans et remplace Heikki Kovalainen. Le champion du monde réalise un excellent début de saison, avec deux victoires sous la pluie en Australie et en Chine, puis Hamilton prend le relais en Turquie, au Canada et en Belgique. Il est alors en lutte pour le titre, mais divers problèmes dans la dernière ligne droite le relèguent en quatrième position devant Button. McLaren termine à la seconde place du championnat tandis qu'Hamilton termine quatrième et Button cinquième.
Le duo rempile en 2011 et est le principal concurrent de Red Bull Racing, remportant six des sept épreuves non remportées par une Red Bull cette année-là. Button termine second avec trois victoires (Canada, Hongrie, Japon) et Hamilton cinquième avec trois victoires également (Chine, Allemagne, Abou Dabi). Pour la deuxième année consécutive, McLaren termine second du championnat des constructeurs.
Résumé[modifier]
Jenson Button au volant de la MP4-26 lors du Grand Prix du Japon 2011
Depuis ses débuts en 1966, McLaren a remporté le championnat du monde des constructeurs à huit reprises et douze fois celui des pilotes, avec 175 victoires en Grand Prix, 147 pole positions, 470 podiums et 149 meilleurs tours en course. 4 332,5 points ont été marqués par l'équipe en 703 Grands Prix.
Par ailleurs, si Graham Hill est le seul pilote de l'histoire à avoir un jour remporté les trois grandes compétitions automobiles que sont les 500 Miles d'Indianapolis, les 24 Heures du Mans et le championnat du monde de Formule 1, McLaren est la seule parmi toutes les écuries à avoir réalisé ce triplé historique.
3 victoires aux Indy 500 :
1972 : Mark Donohue — McLaren Offenhauser M16C
1974 : Johnny Rutherford — McLaren Offenhauser M16C/D
1976 : Johnny Rutherford — McLaren Offenhauser M16E
1 victoire aux 24 Heures du Mans :
1995 : JJ Lehto / Yannick Dalmas / Masanori Sekiya — McLaren BMW F1 GTR
Résultats en championnat du monde[modifier]
Saison Écurie Châssis Moteur Pneumatiques Pilotes (victoires) Points inscrits Classement
1966 Bruce McLaren Motor Racing M2B Ford
Serenissima Firestone Bruce McLaren 3 8e
1967 Bruce McLaren Motor Racing M4B
M5A
M7A BRM Goodyear Bruce McLaren 3 8e
1968 Bruce McLaren Motor Racing M5A
M7A Ford
Ford-Cosworth Goodyear Denny Hulme (2)
Bruce McLaren (1) 51 2e
1969 Bruce McLaren Motor Racing M7A
M7B
M7C
M9A Ford-Cosworth Goodyear
Dunlop Denny Hulme (1)
Bruce McLaren
Derek Bell 38 4e
1970 Bruce McLaren Motor Racing M7C
M14A
M7D
M14D Ford-Cosworth
Alfa Romeo Goodyear
Firestone Denny Hulme
Bruce McLaren
Andrea De Adamich
Peter Gethin
Dan Gurney
Nanni Galli 34 4e
1971 Bruce McLaren Motor Racing M7C
M14A
M19A Ford-Cosworth Goodyear Denny Hulme
Peter Gethin
Jackie Oliver 10 6e
1972 Yardley Team McLaren M19A
M19C Ford-Cosworth Goodyear Denny Hulme (1)
Peter Revson
Brian Redman
Jody Scheckter 47 3e
1973 Yardley Team McLaren M19A
M19C
M23 Ford-Cosworth Goodyear Jody Scheckter
Denny Hulme (1)
Peter Revson (2)
Jacky Ickx 58 3e
1974 Marlboro Team Texaco M23 Ford-Cosworth Goodyear Emerson Fittipaldi (3)
Denny Hulme (1) 73 Champion
1975 Marlboro Team Texaco M23 Ford-Cosworth Goodyear Emerson Fittipaldi (2)
Jochen Mass (1) 63 3e
1976 Marlboro Team McLaren M23 Ford-Cosworth Goodyear James Hunt (6)
Jochen Mass 75 2e
1977 Marlboro Team McLaren M23
M26 Ford-Cosworth Goodyear James Hunt (3)
Jochen Mass
Bruno Giacomelli
Gilles Villeneuve 60 3e
1978 Marlboro Team McLaren M23
M26 Ford-Cosworth Goodyear James Hunt
Patrick Tambay
Bruno Giacomelli 15 8e
1979 Marlboro Team McLaren M26
M28
M28B
M28C
M29 Ford-Cosworth Goodyear John Watson
Patrick Tambay 15 7e
1980 Marlboro Team McLaren M29B
M29C
M30 Ford-Cosworth Goodyear John Watson
Alain Prost
Stephen South 11 8e
1981 Marlboro McLaren International M29C
M29F
MP4/1 Ford-Cosworth Michelin John Watson (1)
Andrea de Cesaris 28 6e
1982 Marlboro McLaren International MP4/1B Ford-Cosworth Michelin John Watson (2)
Niki Lauda (2) 69 2e
1983 Marlboro McLaren International MP4/1C
MP4/1E TAG Michelin John Watson (1)
Niki Lauda 43 5e
1984 Marlboro McLaren International MP4/2 TAG Michelin Alain Prost (7)
Niki Lauda (5) 143,5 Champion
1985 Marlboro McLaren International MP4/2B TAG Goodyear Niki Lauda (1)
John Watson
Alain Prost (5) 90 Champion
1986 Marlboro McLaren International MP4/2C TAG Goodyear Alain Prost (4)
Keke Rosberg 96 2e
1987 Marlboro McLaren International MP4/3 TAG Goodyear Alain Prost (3)
Stefan Johansson 76 2e
1988 Honda Marlboro McLaren MP4/4 Honda Goodyear Alain Prost (7)
Ayrton Senna (
199 Champion
1989 Honda Marlboro McLaren MP4/5 Honda Goodyear Ayrton Senna (6)
Alain Prost (4) 141 Champion
1990 Honda Marlboro McLaren MP4/5B Honda Goodyear Ayrton Senna (6)
Gerhard Berger 121 Champion
1991 Honda Marlboro McLaren MP4/6 Honda Goodyear Ayrton Senna (7)
Gerhard Berger (1) 139 Champion
1992 Honda Marlboro McLaren MP4/6B
MP4/7A Honda Goodyear Ayrton Senna (3)
Gerhard Berger (2) 99 2e
1993 Marlboro McLaren MP4/8 Ford-Cosworth Goodyear Michael Andretti
Mika Häkkinen
Ayrton Senna (5) 84 2e
1994 Marlboro McLaren-Peugeot MP4/9 Peugeot Goodyear Mika Häkkinen
Philippe Alliot
Martin Brundle 42 4e
1995 Marlboro McLaren-Mercedes MP4/10
MP4/10B
MP4/10C Mercedes Goodyear Mark Blundell
Nigel Mansell
Mika Häkkinen
Jan Magnussen 30 4e
1996 Marlboro McLaren-Mercedes MP4/11 Mercedes Goodyear Mika Häkkinen
David Coulthard 49 4e
1997 West McLaren-Mercedes MP4/12 Mercedes Goodyear Mika Häkkinen (1)
David Coulthard (2) 63 4e
1998 West McLaren-Mercedes MP4/13 Mercedes Bridgestone Mika Häkkinen (
David Coulthard (1) 156 Champion
1999 West McLaren-Mercedes MP4/14 Mercedes Bridgestone Mika Häkkinen (6)
David Coulthard (2) 124 2e
2000 West McLaren-Mercedes MP4/15 Mercedes Bridgestone Mika Häkkinen (4)
David Coulthard (3) 152 2e
2001 West McLaren-Mercedes MP4-16 Mercedes Bridgestone Mika Häkkinen (2)
David Coulthard (2) 102 2e
2002 West McLaren-Mercedes MP4-17 Mercedes Michelin David Coulthard (1)
Kimi Räikkönen 65 3e
2003 West McLaren-Mercedes MP4-17D Mercedes Michelin David Coulthard (1)
Kimi Räikkönen (1) 142 3e
2004 West McLaren-Mercedes MP4-19
MP4-19B Mercedes Michelin David Coulthard
Kimi Räikkönen (1) 69 5e
2005 Team McLaren-Mercedes MP4-20 Mercedes Michelin Kimi Räikkönen (7)
Juan Pablo Montoya (3)
Pedro de la Rosa
Alexander Wurz 182 2e
2006 Team McLaren-Mercedes MP4-21 Mercedes Michelin Kimi Räikkönen
Juan Pablo Montoya
Pedro de la Rosa 110 3e
2007 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-22 Mercedes Bridgestone Fernando Alonso (4)
Lewis Hamilton (4) 0 (218) Exclue
2008 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-23 Mercedes Bridgestone Lewis Hamilton (5)
Heikki Kovalainen (1) 151 2e
2009 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-24 Mercedes Bridgestone Lewis Hamilton (2)
Heikki Kovalainen 71 3e
2010 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-25 Mercedes Bridgestone Jenson Button (2)
Lewis Hamilton (3) 454 2e
2011 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-26 Mercedes Pirelli Jenson Button (3)
Lewis Hamilton (3) 497 2e
2012 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-27 Mercedes Pirelli Jenson Button (3)
Lewis Hamilton (4) 378 3e
2013 Vodafone McLaren-Mercedes MP4-28 Mercedes Pirelli Jenson Button
Sergio Pérez
Saison Écurie Châssis Moteur Pneumatiques Pilotes (victoires) Points inscrits Classement
Écuries privées[modifier]
Entre 1968 et 1978, des châssis McLaren ont régulièrement été engagés par des écuries privées ou semi-privées.
Saison Écurie Châssis Moteur Pilotes
1968 Anglo American Racers M7A Ford-Cosworth Dan Gurney
1968 Joakim Bonnier Racing Team M5A BRM Joakim Bonnier
1969 Team Lawson M7A Ford-Cosworth Basil van Rooyen
1969 Team Antiques Automobiles M7B Ford-Cosworth Vic Elford
1970 Team Surtees M7A Ford-Cosworth John Surtees
1970 Joakim Bonnier Racing Team M14A Ford-Cosworth Joakim Bonnier
1971 Joakim Bonnier Racing Team M7C Ford-Cosworth Joakim Bonnier
1971 Scuderia Fillipini M7C Ford-Cosworth Joakim Bonnier
1971 Team Penske M19A Ford-Cosworth Mark Donohue
David Hobbs
1974 Lucky Strike Team M23 Ford-Cosworth Dave Charlton
1974 Yardley McLaren M23 Ford-Cosworth Mike Hailwood
David Hobbs
Jochen Mass
1975 Lucky Strike Team M23 Ford-Cosworth Dave Charlton
1977 BS Fabrications M23 Ford-Cosworth Brett Lunger
1977 Iberia Airlines M23 Ford-Cosworth Emilio de Villota
1978 BS Fabrications M23 Ford-Cosworth Brett Lunger
Nelson Piquet
1978 Centro Asegurador M23 Ford-Cosworth Emilio de Villota
1978 Melchester Racing M23 Ford-Cosworth Tony Trimmer
voila bon montage a vous